Que nous l'admettions ou non, les données historiques affirment que Ngozi Okonjo-Iweala reste le meilleur ministre des Finances du Nigeria d'un kilomètre. Ses initiatives stratégiques et ses réformes ont non seulement stabilisé l'économie, mais ont également établi un niveau élevé de gestion budgétaire et de transparence. Son héritage aurait pu être maintenu pour servir de référence pour une gouvernance économique efficace, mais les vautours l'ont érodée.
Le mandat de NOI en tant que ministre des Finances a eu un impact profond sur les perspectives économiques du Nigeria. Elle a établi une norme qu'aucun autre ministre n'a pu respecter. Elle a laissé un héritage qui ne peut pas être nié peu importe combien ils ont essayé.
Okonjo-Iweala a réussi à placer les obligations nigérianes sur les indices d'obligations JP Morgan et Barclays, faisant du Nigéria la seule nation d'Afrique subsaharienne à être séparée de l'Afrique du Sud. Le mouvement a attiré des milliards de dollars d'investissements étrangers, ce qui a considérablement renforcé la crédibilité financière et la liquidité du Nigeria.
Une autre réalisation notable a été la négociation d'une remise de dette de 18 milliards de dollars avec le Club de Paris en 2005. L'accord a réduit la dette extérieure du Nigéria de 60 %, ce qui a créé l'espace budgétaire nécessaire au développement économique. Elle a également obtenu les premières notations de crédit souverain du Nigeria de Fitch et Standard & Poor, qui ont été cruciales pour attirer les investissements étrangers.
C'est l'IN qui a introduit le Système intégré d'information sur la paie et le personnel (IPPIS) pour éliminer les travailleurs fantômes et réduire la fraude salariale.
C'est également la NOI qui a créé le Fonds souverain de patrimoine (SFF) pour gérer les recettes pétrolières excédentaires, assurant ainsi l'épargne des générations futures.
Elle a également commencé à publier des décaissements mensuels aux unités de fédération, favorisant la transparence et la responsabilisation dans les finances publiques. Nous pourrions donc bien mesurer les effets de la politique gouvernementale sur les PME et la création d'emplois.
C'est dans le cadre d'Okonjo-Iweala que le programme de réinvestissement et d'autonomisation des subventions (S) a été lancé.
URE-P) et la Youth Enterprise with Innovation au Nigeria (YOUWIN) ont été lancées à la suite de la suppression partielle des subventions au carburant en 2012. Ces programmes visaient à atténuer l'impact de la suppression des subventions en créant des emplois et en soutenant les petites et moyennes entreprises (PME).
Comparaison des Okonjo-Iwealas avec ceux que nous avions depuis son départ est une hérésie. Par exemple, alors que les politiques d'Okonjo-Iweala's se concentraient sur la stabilité et la transparence économiques à long terme, celles-ci ont donné la priorité aux gains à court terme et à l'enrichissement personnel. Sans plan explicite, sans stabilité économique et sans transparence. Des questions telles que la corruption, la mauvaise gestion des fonds et le manque de continuité dans la mise en œuvre des politiques ont entravé les progrès.
Voilà.'Il est impossible de comparer Ngozi Okonjo-Iweala avec ses successeurs. Elle reste la meilleure à un million de miles.