Il y a quelques années, j'ai dû faire beaucoup de travail dans différents pays africains, du Zimbabwe au Botswana et au Kenya à la Zambie.
Je me sentais souvent mal au pays. Chaque fois que je voyageais, je mettais mon petit lecteur de CD, je brancheais mes écouteurs et jouais beaucoup de morceaux de divers artistes de Naija.
Mes favoris étaient "Dans la lumière du matin, vous et moi, Bia Nulu, Alleluyah Chime, marchez en arrière, dansez au soleil, pour toujours etc...." sans ordre particulier. La chanteuse était Onyeka Onwenu.
Chaque fois qu'elle a fait entendre sa voix, je me sentais comme si tout allait bien avec le monde.
En grandissant, j'avais vu sa carrière passer par différentes scènes, alors qu'elle passait du rôle de journaliste à celui de chanteuse, d'actrice et d'écrivain. J'ai toujours senti qu'elle était bien meilleure journaliste qu'une actrice.
Puis il y a 3 ans, je l'ai rencontrée dans un grand magasin de détail de ma propriété. Quelques filles l'avaient vue avant moi, et demandaient de prendre une photo avec elle.
J'ai rejoint, et je me suis forcé à jeter mon aversion pour prendre des photos. Ça valait la peine. Elle était gracieuse, gentille et intéressante.
J'ai enregistré cette photo sur mon téléphone, mais malheureusement, ce téléphone s'est perdu quelques mois après.
Hier soir, quand j'ai appris qu'elle était morte, j'ai été évincée. C'était comme perdre un précieux héritage, qui avait été gardé en sécurité pendant si longtemps.
Adieu, Onyeka Onwenu. Je peux toujours.'Tu parles de toi sans te sentir lamentable. Vous avez vécu. Tu adorais la vie. Vous avez brillé. Et tu l'as fait't timide loin de la controverse.
Que les anges vous introduisent dans les portails du ciel. C'est vrai. Votre présence a été une bénédiction pour beaucoup. Vos chansons étaient un cadeau merveilleux.